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Carmentis

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Planche de momie d'un scribe des offrandes divines du temple d'Amon
  • CollectionÉgypte
  • Numéro d'inventaireE.05908
  • Nom de l'objetPlanche de momie
  • TitrePlanche de momie d'un scribe des offrandes divines du temple d'Amon
  • CultureÉgyptienne
  • GéographieLieu de découverte:Deir el-BahariRéférence Géographique > Afrique > Afrique septentrionale > Égypte > Haute-Égypte (région) > Luxor (gouvernorat)
    Lieu de production:ÉgypteRéférence Géographique > Afrique > Afrique septentrionale
  • Datation1069 BC - 945 BC
  • PériodeXXIème dynastie(Égypte > Troisième période intermédiaire)
  • MatièreBoisMatière > Végétal
    TechniquePeinture sur stucTechnique > Matières manufacturées (techniques)
  • DimensionsLo x La x H: 172 cm, 39 cm, 15 cm
  • PropriétaireMusées royaux d'art et d'histoire / Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis
  • Commande de photos
Description
Références
Objets reliés

Planche de momie d’un scribe des offrandes divines du temple d’Amon
Bois stuqué et peint
Troisième Période Intermédiaire, 21e dynastie (vers 1069-945 av. J.-C.)
Deuxième Cachette de Deir el-Bahari (Bab el-Gasous)


Cette planche de momie fait partie du seul ensemble complet de la Deuxième Cachette de Deir el-Bahari qui fut offert au Musée par les autorités égyptiennes. Il comportait également un cercueil extérieur (E.5879) et un cercueil intérieur (E.5885).

Le défunt porte une perruque bleue rayée de jaune. Ses mains fermées sont fixées sur son collier multicolore. Plus bas, le décor de la planche de momie est structuré autour de deux scarabées deux représentations d’Osiris assis. Nout, la déesse du ciel, sépare les deux registres de ses ailes. Les images ont été moulées dans le stuc, avant d’être peintes et couvertes d’un vernis. Les côtés des jambes portent des scènes d’adoration à Osiris, disposées en miroir autour d’une colonne de texte contenant un discours du dieu.


La planche de momie ne livre aucune information quant au nom du défunt. Les derniers signes de la colonne de hiéroglyphes, là où son nom aurait dû être mentionné, ont malheureusement été complètement repeints au XIXe siècle.